UNE BÊTE ORDINAIRE

Stéphanie Marchais / Véronique Bellegarde

Co-production  CAP*-La Fabrique (Montreuil), RB|D Productions, Espace Bernard-Marie Koltès – Metz

Report des représentations initiales des 25, 26 & 27 mars 2020 : Vos places sont automatiquement reportées sur les mêmes séances. Vous pourrez modifier ou annuler ces places à partir du mois de septembre 2020
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dossier de presentation
Dossier
Catégories

durée du spectacle
DUREE
1h

Tout public,
à partir de 14 ans


HORAIRE

Jeudi 18h
Vendredi 14h & 19h

Date

jeudi - vendredi 21 - 22 janvier
Expired!

Qu’est-ce qu’on fait des femmes quand elles éclosent.

Presse

Insolente odyssée miniature... Une Bête ordinaire conquiert ses galons d'un théâtre adulte accompli
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Humanité
La pièce est magnifique, furieusement angoissante et définitivement indispensable.
Toute la culture
Cette pièce chorale écrite entre réalisme et fantastique offre un univers particulier d’où la beauté émerge de la noirceur grâce à une langue poétique et charnelle.
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Theatre.com

Résumé

Elle a 7 ans, des seins comme des mandarines et ne va plus en classe. Elle se cache dans le local à vélos du fond de la cour de l’école, s’y fait toucher par des garçons. Elle, c’est une petite fille ordinaire qui monnaye son corps contre des bonbons. Rétribution dérisoire pour cette enfant faisant commerce de sa puberté précoce avec la froideur méthodique d’un homme d’affaires rompu à toutes les pratiques. Du sang – lequel ? – coulera entre ses cuisses. Un amour muet la prendra toute. Elle croira à la fin des solitudes mais ne se confiera qu’à une chienne…

distribution

Texte Stéphanie Marchais aux éditions Quartett en 2015 avec le soutien du CNL.
Mise en scène et scénographie Véronique Bellegarde
assisté de François Dumont
Lumière Philippe Sazerat
Création sonore et musicale Philippe Thibault
Costumes Gérard Viard

Avec Jade Fortineau et Philippe Thibault (musique)

Crédit photo Kymberley Elys

Mot du metteur en scène

La beauté de la langue percutante et poétique, nous interpelle profondément sur un phénomène croissant de ces dernières décennies, lié notamment aux perturbateurs endocriniens (présents notamment dans le plastique et les pesticides).

Cette bête ordinaire, un peu monstre, questionne la responsabilité des adultes sur la protection de l’enfance, l’importance de protéger ce temps-là, et met à nouveau les questions environnementales au coeur des enjeux du monde d’aujourd’hui.

Le texte a reçu l’Aide à la création de Artcena
Avec le soutien du Ministère de la Culture, de la Ville de Paris, de la Spedidam et du Théâtre de Fontenay en scène – Fontenay-sous-Bois
Avec la participation artistique du Jeune Théâtre National et avec le label Rue du Conservatoire.
La Cie Le Zéphyr est soutenue par la DRAC-Île-de-France. Cap*-La Fabrique est soutenue par la Région Île de France.

Véronique Bellegarde

Jours
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