Date
- mardi 2 avril
- Expired!
Organes en détresse se veut une exploration artistique opposée aux violences sexistes et sexuelles qui persistent au sein des universités et dans notre société.
Résumé
Le texte “Organes en détresse” plonge dans une exploration des dynamiques humaines, mettant en avant les thèmes de la quête identitaire, de la violence, de l’amour et de la résilience. À travers une narration polyphonique, il décrit des expériences diverses et complexes, mettant l’accent sur les différentes réactions des individus face aux tourments émotionnels de l’existence. Cela va de la passion à la colère, évoquant des moments d’horreur, des questionnements liés aux violences subies, exprimant un profond désir de rédemption et de renouveau.
distribution
Texte et mise en scène Koffi N’DANOU
Assistant à la direction d’acteurs Didier DOUMERGUE
Avec Clara OMHOVERE, Manuel KANDONOU, Laurine MANTOVANI, Stella BANGANA, Ponny GOUTTEGATA, Alexandra TERLIZZI, Eva ORHON, Océane DENANYOH, Corentin ABADIE, David BERRANG, Nadia LARGOU
Régie Antoine BALLAY
Production Etudi’Art
avec le soutien financier du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche, du CROUS Lorraine et de la FSDIE
Conventionnement Espace Bernard-Marie Koltès
Mot du metteur en scène
Les trois bases de ce spectacle résident dans la recherche documentaire, les témoignages personnels et un texte dramatique original spécialement produit pour l’occasion. La présence en scène des corps des comédiens traversés par cette thématique est essentielle au projet, dans une espèce de coming-out artistique ou chacun sera libre de se faire reconnaître pour ce qu’il est et ce qu’il pense.
Organes en détresse explore la dualité entre le visible et l’invisible, le dit et le non-dit. Le corps devient le réceptacle des histoires et des silences, tandis que la musique et la danse fusionnent pour donner forme à l’indicible. L’esthétique visuelle et sonore de la pièce est une rencontre organique de ces éléments artistiques, spectaculaires et festifs, créant une expérience d’une utopie désirable.
Koffi N’Danou