Allers retours

Ödön von Horváth / Alain Batis

Production La Mandarine Blanche (Grand Est)

La Mandarine Blanche est conventionnée par la DRAC Grand Est 

Si vous possédez un billet pour ce spectacle aux dates de la saison 2020-21, vous pouvez bénéficier d’un report prioritaire sur les nouvelles dates de la saison. Si les dates ne vous conviennent plus, vous pouvez également demander à échanger votre billet contre un autre spectacle.

Pour ce faire merci de nous envoyer un mail à ebmk-reservation@univ-lorraine.fr avant le vendredi 10 septembre 2021.

dossier de presentation
Dossier
dossier de presentation
Revue de presse

durée du spectacle
DUREE
1h55

à partir de 12 ans


HORAIRE
Mardi 14h & 18h
Mercredi 20h

Date

mardi - mercredi 25 - 26 janvier
Expired!

Je connais ce cas. Faire des allers- retours sur le pont... jusqu’à mourir de faim. Un cas administratif. Pauvre homme ! Il a l'air plutôt sympathique d'ailleurs...

Presse

Au menu, satire grotesque, théâtre gestuel et intermèdes chantés sont dispensés de manière chorale par une belle troupe de comédiens.
Froggy's Delight
Kafkaïenne, flirtant avec le grotesque… mais en même temps maligne, cette pièce est un petit bijou.
Reg'Arts
Le spectacle résonne en effet férocement avec notre actualité tant il traite avec un humour grinçant et beaucoup de bon sens de la relativité de la notion de frontière.
theatre_com
Theatres.com

Résumé

Allers-retours se passe sur un pont qui enjambe une rivière et tient lieu de frontière entre deux États, avec des douaniers chatouilleux sur le règlement. Après la faillite de son petit commerce, un type est expulsé d’un pays où il a passé un demi-siècle, avant d’être refoulé de l’autre côté de la frontière, son pays de naissance où, à cause de nouvelles lois, il est considéré comme un étranger. Coincé sur ce pont où il effectue d’incessants allers-retours, il va peu à peu contribuer à retisser des liens entre les deux rives, portant des messages personnels et allant jusqu’à permettre l’arrestation de contrebandiers notoires, ce qui lui vaudra d’obtenir un laissez-passer pour retrouver et épouser une femme d’en face dont il vient de faire la connaissance.

distribution

Texte Ödön von Horváth, publié chez l’Arche Éditeur

Traduction Henri Christophe

Mise en scène Alain Batis

Avec Sylvia Amato, Alain Carnat, Laurent Desponds, Théo Kerfridin, Sophie Kircher, Marc Ségala, Marie-Céline Tuvache, Henri Vatin

Dramaturgie Jean-Louis Besson
Scénographie Sandrine Lamblin
Musique Cyriaque Bellot
Costumes Jean-Bernard Scotto
Lumière Jean-Louis Martineau
Perruques, maquillages Judith Scotto
Régie lumière Emilie Cerniaut
Régie son Gaultier Patrice
Crédit Photo Jean-Louis Martineau

Mot du metteur en scène

Cette fable étonnante est sans doute inspirée par la vie personnelle d’Ödön von Horváth : Après la fouille de la maison de ses parents à Murnau par les nazis, Ödön von Horváth passe la frontière autrichienne et vit tantôt à Vienne, tantôt dans le land de Salzbourg. En automne, il se rend à Budapest afin de renouveler son appartenance à l’État hongrois.
C’est une farce en deux parties qui, dans sa dimension grotesque, met en lumière les paradoxes de nos sociétés contemporaines et le sort qu’on réserve aux esseulés, aux apatrides, aux migrants…. et au-delà de ces questions essentielles, dénonce l’absurdité de certains de nos comportements.

Alain Batis

Coproduction Le Carreau – Scène nationale de Forbach et de l’Est mosellan, Les Tréteaux de France – Centre Dramatique National, Quai Est
Avec le soutien du TAPS de Strasbourg, de la Région Grand Est et de l’Adami
La Mandarine Blanche est conventionnée par la DRAC Grand Est

Jours
Heures
Minutes
Secondes